Jouer des solos sur des progressions d’accords
Publié le mercredi 6 mai 2020
Pour jouer un bon solo, il est important de savoir improviser. Pour y arriver, il faut s’entraîner et expérimenter beaucoup. Pas de secret, la meilleure méthode pour devenir un bon soliste est la pratique. Il ne suffit pas d’apprendre des solos en écoutant des morceaux. En effet, vous devez également créer vos propres mélodies. Cette méthode permet également de mieux vous familiariser avec votre instrument.
Photos: Jelmer de Haas
- Progressions d’accords et gammes
- S’exercer sans groupe
- Clavier et logiciel
- S’enregistrer
- Se réécouter jouer
- Laisser de côté la virtuosité
- Commencer avec quelque chose de simple
- Raconter des histoires
- Phrasés
- Jouer du blues
- La note bleue
- Bon à savoir
- Apprendre les solos de vos musiciens préférés
- Les claviéristes
- Les origines de la note bleue
- Toujours une progression différente
- Plus blues
- La gamme majeure « standard »
- Gammes pentatoniques
- Gamme blues majeure
- Gamme blues mineure
- Voir également
Progressions d’accords et gammes
En général, on joue un solo sur une certaine progression d’accords. Voilà pourquoi il est important d’avoir quelques connaissances de base sur les accords et les gammes. Certes, il y a pléthore de musiciens connus qui ne connaissent pas le solfège, mais ce sont des exceptions. Il ne faut donc pas prendre pour modèle ces artistes. De plus, je ne crois pas toujours ce que disent les célèbres musiciens, parce que certains d’entre eux ne sont pas complètement honnête sur ce sujet et trouvent que ne pas connaître le solfège est une bonne chose.
S’exercer sans groupe
Les informations mentionnées ici s’appliquent à n’importe quel instrument de musique. Les solos, nous l’avons dit sont généralement joués sur une suite d’accords. Ces accords sont joués par un groupe. Et vous, en tant que guitariste, pianiste, saxophoniste, trompettiste ou flûtiste, par exemple, jouez un solo par-dessus ces accords. Notez que les solos à la basse ne sont pas forcément joués sur des accords. En effet, ces solos sont souvent accompagnés par des motifs subtils à la batterie, la guitare ou le clavier. Toutefois, à la maison, il n’y a pas de groupe qui peut vous accompagner. La meilleure façon de vous exercer et d’expérimenter est d’utiliser un rythme joué à un instrument. Heureusement, il existe plusieurs appareils et logiciels relativement abordables pour palier à ce problème. Personnellement, j’utilise un JS-5 Jamstation de Roland, un séquenceur hardware équipé d’environ 200 styles de musique différents. Ainsi, j’arrive toujours à trouver un rythme/un style qui convient au morceau dont je veux apprendre le solo. Pour l’utiliser, vous devez programmer les accords, choisir le bon tempo, activer le mode de boucle (pour faire répéter la suite d’accords) et sauvegarder le morceau dans le mémoire interne, ce qui vous permet de le rappeler à n’importe quel moment. Il vous suffit d’appuyer plusieurs fois sur un bouton pour changer la tonalité de la progression d’accords.
Clavier et logiciel
Vous pouvez aussi utiliser un clavier standard possédant des styles intégrés, à condition que ce dernier dispose d’une mémoire interne pour stocker un morceau. Sinon, vous devez programmer le morceau à chaque fois que vous voulez jouer par-dessus. Seul problème : en général, un clavier ne permet pas de programmer des accords étape par étape. Il faut donc les programmer « manuellement », alors que le rythme est en cours. Si vous n’êtes pas habitué à ce type d’instrument et que vous n’arrivez pas à changer rapidement d’accord, un clavier n’est probablement pas une bonne option pour vous. En effet, il vaut mieux choisir un appareil programmable. Il existe également d’autres marques que Roland qui proposent des appareils pareils pouvant être reliés à un clavier via USB ou via MIDI pour programmer des accords. Vous pouvez aussi opter pour une boîte à rythmes, mais cette dernière ne propose que des rythmes et pas d’accords ni de lignes de basses. Autre solution : un logiciel comme Band-in-a-Box.
S’enregistrer
En tant que musicien soliste, j’ai fait énormément de progrès après l’achat de mon Jamstation. Cet appareil rend d’ailleurs les répétitions plus agréables. Enregistrer mes solos à la maison (et sur scène) m’a également fait avancer. Si vous voulez améliorer vos solos, il est indispensable de les enregistrer et écouter. La qualité de l’enregistrement n’est pas vraiment importante, il suffit de pouvoir vous entendre jouer. Heureusement, il existe aujourd’hui de nombreux appareils d’enregistrement abordables et compacts. Toutefois, au début il peut s’avérer être déstabilisant et frustrant de vous entendre jouer, mais il faut dépasser cela. Quand je me suis entendu jouer pour la première fois, j’étais très déçu par la qualité de mes solos au Hammond. Je pensais savoir jouer des solos très mélodiques et propres. Au piano, c’était encore pire. J’étais bien capable de jouer rapidement mais le résultat n’était pas bon. Mais quelle en était la cause ?
Se réécouter jouer
Après avoir dépassé mes frustrations, j’ai commencé à varier mes solos et à les réécouter. La première chose qui m’a frappée a été le fait que j’utilisais souvent le même motif, jusqu’ à devenir ennuyeux. Dans ce cas, il vaut mieux ne plus jouer ce motif. Mais le vrai problème n’était pas là, c’était autre chose. En réécoutant et en analysant mon jeu, j’ai découvert que les ingrédients les plus importants d’un bon solos sont : un bon timing et un bon phrasé. Si vous maîtrisez cela, c’est presque gagné. Il reste bien évidemment d’améliorer votre vélocité et votre dynamique et d’apprendre à exprimer vos sensations et votre authenticité, notamment. Toutefois, je vous recommande de travailler d’abord votre timing et votre phrasé, et le reste viendra plus tard. Avoir un bon timing signifie que votre jeu est rythmiquement correct. Il faut donc commencer par garder le bon tempo lorsque vous jouez un solo. Pour vous en assurer, vous devez vous enregistrer et vous réécouter jouer.
Laisser de côté la virtuosité
Pour améliorer votre jeu, il suffit de vous enregistrer et de vous réécouter jouer souvent. Si votre timing n’est pas bon, je vous conseille de simplifier votre jeu et de laisser de côté la virtuosité et la vélocité. Jouez des mélodies faciles et enregistrez-les. Il se peut que votre timing ne soit toujours pas bon. Pas de panique, pour palier à ce problème, vous pouvez commencer à travailler le timing de mélodies simples, puis accélérer peu à peu. N’oubliez pas qu’une mélodie peu complexe peut être aussi convaincante qu’une mélodie très rapide et compliquée. Il suffit de jouer les bonnes notes au bon moment. Je reviendrai encore sur ce sujet plus tard.
Commencer avec quelque chose de simple
Un autre avantage de jouer des mélodies simples est que cela vous évite de trop compliquer vos solos. De plus, commencer à jouer lentement vous apaisera si vous êtes sur scène et vous permet de mieux vous concentrer. Une mélodie facile est d’ailleurs un excellent point de départ pour jouer un beau solo. En effet, elle vous permet de mieux développer votre solo. Vous pouvez, par exemple, commencer par une mélodie de seulement trois notes et les répéter deux fois. Notez que la répétition est un facteur important dans la musique. En effet, il n’est pas nécessaire de continuer à varier votre jeu tout au long d’un morceau. Bref, il est presque toujours une bonne idée de répéter une note ou une ligne que vous aimez. Cela vous donnera également le temps de respirer et de trouver quoi jouer par la suite. Enregistrez et réécoutez le résultat. Sachez que même les musiciens connus comme le défunt Stevie Ray Vaughan utilisent beaucoup de répétitions dans leur musique.
Raconter des histoires
Certains instruments de musique vous permettent de tenir la même note pendant très longtemps, ce que j’ai découvert lorsque j’ai acheté une vraie cabine Leslie pour mon Hammond. En résulte un ton particulièrement vif que vous pouvez tenir pendant plusieurs mesures. Cela est également possible sur une guitare électrique. Aujourd’hui, on ne voit pas souvent des claviéristes qui font durer la même note pendant très longtemps, ce qui est dommage à mon avis, mais cela n’est pas étonnant puisqu’il car il est assez rare d’avoir l’occasion de jouer un solo au clavier sur scène. Savoir raconter une histoire avec un solo, c’est la plus belle chose qui soit. Et cela nous amène à un autre facteur important d’un solo : le phrasé.
Phrasés
Dans la musique, le phrasé indique la façon d’exécuter les différentes phrases musicales. Avec le timing, c’est l’aspect le plus important d’un bon solo. En effet, ces deux facteurs sont à la base de n’importe quel bon morceau ou solo. Dans la langue écrite, on place des virgules, des points, des deux points, etc. La ponctuation est essentielle pour structurer une phrase et la rendre intelligible. C’est les même cas dans la musique, où le phrasé a pour but d’organiser une chanson. Pour améliorer vos solos, vous pouvez utiliser des séquences mélodiques relativement courtes. Ainsi, le célèbre harmoniciste belge Toots Thielemans a commencé sa carrière en jouant de la guitare. L’histoire raconte qu’il jouait la guitare sans trop d’expression, après quoi quelqu’un lui a recommandé de se mettre à l’harmonica. Sur un harmonica, on est obligé de respirer de temps en temps lorsque vous jouez. Sur d’autres instruments qui ne nécessitent pas de respirer comme une guitare ou un clavier, vous devrez aussi prendre de petites pauses en jouant pour mieux faire « respirer » vos solos. Je vous conseille de ne pas faire durer vos phrases musicales plus longtemps que vous le feriez en chantant ou en jouant sur un instrument à vent. Ainsi, vos solos seront plus expressifs et mieux à suivre pour le public. Vous devez donc vous forcer à laisser des silences entre deux phrases, parfois même d’une mesure. On peut également utiliser les phrasés pour jouer des alternances questions/réponses.
Toots Thielemans Photo (récadrée): Toots Thielemans, par Robbie Drexhage, licence CC BY-SA 4.0
Jouer du blues
L’une des caractéristiques principales du blues est que l’on improvise en général sur une gamme blues lorsque l’on joue un solo. On retrouve ces gammes également dans la pop et le rock. En fait, les gammes blues sont utilisées dans presque n’importe quel solo à la guitare, même si ce n’est pas un morceau orienté blues. Il est donc important de savoir jouer du blues pour faire un solo de guitare. Un solo sonnera mieux s’il contient des caractéristiques d’une gamme blues. La caractéristique la plus importante est la « blue note » (ou « note bleue »). C’est une note jouée (ou chantée) avec un léger abaissement. La note bleue la plus connue est la tierce diminuée. Ainsi, dans un blues en Do, le mi devient un mib. Pour en savoir plus sur ce sujet, lisez les informations dans le cadre en bas. Pour réaliser un bon solo, il est recommandable d’utiliser des éléments des gammes blues. Pour savoir comment le faire, voir le paragraphe « Plus blues ». N’importe quel musicien devrait être en mesure de jouer du blues, même s’il est orienté pop ou rock. En effet, les gammes blues sont un excellent point de départ pour faire un solo efficace, quel que soit le style de musique que vous jouez.
La note bleue
Ici, nous reviendrons sur la note bleue. La note bleue la plus célèbre, nous l’avons dit, est la tierce diminuée (dans la gamme de Do, le mi devient un mib). Il existe deux autres notes bleues : la quinte diminuée (le sol devient un fa#) et la septième diminuée (le si devient un sib). On pourrait dire que la tierce diminuée est la note bleue la plus expressive. En jouant une note bleue, on sort de la gamme. Pour réaliser une note bleue à la guitare ou à l’harmonica, il suffit de faire des bends. Dans le cas d’un clavier, vous pouvez ajouter une note d’ornement. Je joue du blues depuis environ 10 ans. Au début, mon timing et mon phrasé étaient mauvais. Au fil des années, je me suis beaucoup amélioré. Toutefois, il y a toujours des choses à apprendre et à améliorer. J’ai appris que l’on peut parfaitement intégrer des notes bleues dans un solo sans forcément jouer du blues. En effet, ces notes vous permettent de mettre en valeur certains moments. Les notes blues peuvent également être jouées au début d’un solo pour ajouter du suspense à un morceau. Bref, pour améliorer vos solos, il faut improviser beaucoup, acquérir des connaissances de base en musique, vous exercer en utilisant un appareil physique ou un logiciel, vous enregistrer et travailler sur votre timing et votre phrasé. N’oubliez pas non plus d’utiliser des notes bleues.
Bon à savoir
Apprendre les solos de vos musiciens préférés
Il est toujours une bonne idée d’apprendre à jouer les solos de vos artistes préférés. En effet, cela vous permet de maîtriser des motifs que vous n’utilisez pas normalement. Essayez également de jouer les solos des musiciens que vous connaissez moins bien afin d’élargir vos horizons musicaux.
Claviéristes
Si vous êtes claviériste et que vous souhaitez jouer des solos, vous devez travailler régulièrement vos gammes. L’important c’est de bien maîtriser les gammes majeures et mineures standard, ainsi que les gammes blues majeures et blues mineures dans les tonalités les plus courantes.
Les origines de la note bleue
D’où vient la note bleue (également appelée « worried note » en anglais) ? Il n’y a pas de réponse claire à cette question. Il est certain que la note bleue est introduite aux États-Unis par des esclaves noirs. Une des explications possibles est qu’ils utilisaient des instruments usés et mal accordés qui leur obligeaient à jouer des notes bleues. Mais cette explication n’est pas satisfaisante, puisque les peuples africains n’utilisaient pas le système tonal de la musique occidentale basé en douze intervalles égaux, mais le système pentatonique, une échelle musicale constituée de cinq hauteurs de son différentes. Une autre explication possible est que la note bleue existait déjà en Afrique, mais qu’elle avait un autre nom avant son arrivée aux États-Unis.
Le bluesman américain influent Robert Johnson
Toujours une progression différente
Une bonne méthode pour améliorer vos solos est de les construire à chaque fois à partir d’une gamme différente. Ainsi, si vous jouez un blues en Mi, commencez sur un Mi, puis sur une note bleue de Sol, puis sur un La, etc. Cela vous aidera aussi à trouver de nouvelles mélodies.
Plus blues
Dans cet article, nous vous expliquons comment intégrer des éléments « bluesy » dans vos solos, peu importe qu’il s’agit d’un morceau orienté blues, pop ou rock. Ci-dessous, vous trouverez des gammes qui vous permettent d’expérimenter à volonté.
La gamme majeure « standard »
Cette gamme ne comporte pas d’éléments bleus. Dans ce cas, il faut tout simplement jouer la gamme majeure qui correspond à la tonalité du morceau. Ainsi, il faut utiliser la gamme de Do majeur (do-ré-mi-fa-sol-la-si) si un morceau est composé en Do. De même, si une chanson est écrite dans une tonalité mineure, vous devez jouer la gamme mineure correspondante. Notez que ces gammes « standard » ne sont pas bien adaptées au blues. En effet, dans le blues, on utilise souvent des accords avec un septième diminuée. Dans le cas où vous jouez la gamme de Do majeur et un accord de Do7, il y aura un frottement entre le si de la gamme et le sib de l’accord. Vous pouvez bien utiliser la gamme de Do mixolydien et un accord de Do7 pour jouer un blues en Do.
Gammes pentatoniques
Les gammes pentatoniques sont composées de cinq notes. Ces gammes ne comprennent pas de notes bleues, mais elles sont couramment utilisées dans le blues. Les gammes pentatoniques les plus utilisées sont la gamme pentatonique majeure et la gamme pentatonique mineure. La gamme de Do majeur pentatonique contient les notes suivantes : do-ré-mi-sol-la, tandis la gamme de Do mineur pentatonique est constituée des notes suivantes : do-mib-fa-sol-sib. Peut-être que vous pensez que le mib et le sib sont des notes bleues, mais il n’y a pas de frottement entre le mib et l’accord de Domin (do-mib-sol), ce qui est bien le cas avec une gamme blues majeure, parce qu’il y a un frottement entre le mib et le mi de l’accord D7 (do-mi-sol-sib). La gamme pentatonique mineure est parfaite pour jouer un bleus en mineur, par exemple.
Gamme blues majeure
La gamme blues majeure contient une note bleue, à savoir la tierce diminuée. En effet, la gamme blues majeure est constituée des notes suivantes : do-ré-mib-mi-sol-la-do. Elle est donc identique à la gamme pentatonique majeure, sauf qu’elle comprend la note bleue de mib. La gamme blues majeure se prête à des morceaux de divers styles de musique. La note bleue permet de donner une certaine légèreté et richesse à vos solos. Vous trouverez ci-dessous des gammes blues majeures dans différentes tonalités :
Do : do-ré-mib-mi-sol-la-do
Mi : mi-fa#-sol-sol#-si-do#-mi
Sol : sol-la-sib-si-ré-mi-sol
La : la-si-do-do#-mi-fa#-la
Gamme blues mineure
Un solo devient plus bluesy si vous utilisez des gammes blues mineures. Celles-ci peuvent également être utilisées dans les chansons de pop et de rock, par exemple. La gamme blues de Do mineur est composée des notes suivantes : do-mis-fa-fa#-sol-sib-do. Les notes blues sont : mib, fa# et sib. Plus vous mettez en valeur ces dernières notes lors d’un solo, plus il sera bluesy. Mais comment jouer un vrai blues ? Si le blues est en Do, vous pouvez jouer tous les accords sur la gamme blues de Do mineur. Vous pouvez également suivre les changements d’accords, mais il y aura un hic. En effet, si vous voulez jouer ce blues en Do et que vous voulez utiliser un accord de Fa7, évitez de jouer les notes de la gamme blues de Fa mineur sur cet accord. Jouez plutôt les notes de la gamme blues de Fa majeur sur l’accord Fa7, puisque cela sonnera mieux. Faites la même chose si vous passez à l’accord Sol7 (c’est la gamme blues de Sol majeur). Vous trouverez ci-dessous la gamme blues mineure dans différentes tonalités :
Do : Do-Mib-fa-fa#-sol-sib-do
Mi : mi-sol-la-sib-si-ré-mi
Sol : sol-sib-do-ré#-ré-fa-sol
La : la-do-ré-mib-mi-sol-la
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merci
J’ai aimé le livre
Merci pour cet article que j ai trouvé fort intéressant.
Je rêve de pouvoir réaliser un solo sauf que j ai tout essayé et je n y arrive pas et ce que j entends ne me plaît pas.
Je m entraîne souvent sur une progression 1/4/5 et j ai l impression de tourner en rond et je le lasse . Je ne trouve aucune inspiration et même si je chante mon solo dans ma tête je suis incapable de le reproduire.
Bonjour,
Dans ce cas, nous vous recommandons de prendre des cours auprès d’un professeur qui enseigne votre instrument et qui est compétent en matière d’improvisation. Quelques leçons peuvent faire toute la différence.
Marnix | Bax Music