5 faits fascinants sur le ukulélé

5 fascinerende feitjes over de ukelele

Les experts de Bax Music pourraient vous raconter des milliers de faits fascinants sur le ukulélé, mais nous n’avons pas assez de temps pour tous les évoquer. Nous en avons choisi cinq !

#1. Pic de popularité

Vers 1880, le ukulélé a été implanté à Hawaï par des immigrants portugais qui avaient basé sa conception sur des instruments ressemblant à des guitares. Lorsque des musiciens hawaïens ont utilisé cet instrument lors de l’exposition universelle de 1915 à San Francisco, il est soudainement devenu extrêmement populaire. Dans les années 1920, le luthier Martin en a vendu plus de 100 000. Après la Seconde Guerre mondiale, l’instrument a connu un regain d’intérêt, mais ce n’est rien en comparaison avec l’engouement toujours d’actualité suscité par l’interprétation de la chanson Over the Rainbow par Israel Kamakawiwoʻole.

#2. Reconnaître les ukulélés

Le charme du ukulélé réside non seulement dans sa sonorité et son format, mais aussi dans le fait qu’il en existe de nombreux types différents. Vous avez probablement déjà rencontré (du plus petit au plus grand) le ukulélé sopranino, soprano, concert et ténor, mais savez-vous qu’il existe également des ukulélés basse ? Sans oublier des guitalélés (utiles pour les guitaristes), des ukulélés électriques et des banjolélés !

#3. Petit homme vivant

Le mot ukulélé provient des mots hawaïens uku et lele. Uku signifie cadeau ou récompense et lele signifie venir. Selon la légende, la reine Lili’uokalani a donné ce nom à l’instrument qui, selon elle, était un cadeau arrivé sur les îles grâce aux immigrants portugais. Une autre traduction est « puce qui saute » (‘uku = puce et lele = saut), probablement à cause des doigts du musicien qui bougent rapidement sur les cordes. Il existe également une autre explication qui semble la plus probable selon laquelle la « puce sautante » faisait référence à Edward Purvis, un officier britannique à la cour du roi Kalakaua. Purvis était un homme plutôt petit et vif, que l’on surnommait là-bas « jumping flea » qui se traduit par « puce sautante » en anglais…

#4. Accordage particulier

Les formats de ukulélé les plus courants (soprano et concert) possèdent un accordage particulier. Il s’agit d’un accordage « ré-entrant », ce qui signifie que les cordes ne vont pas de la plus grave à la plus aiguë, contrairement à la majorité des autres instruments à cordes. Vous commencez par une note aiguë (G/Sol), puis vous descendez jusqu’au C/Do, puis vous remontez jusqu’au E/Mi et au A/La. Sur un ukulélé ténor, la corde de Sol est généralement accordée une octave plus basse, ce qui vous donne un ordre classique et un son un peu plus riche, mais avec un peu moins de ce son joyeux et aigu typique du ukulélé. Autre point intéressant : si vous placez un capodastre sur la cinquième frette d’une guitare, les quatre cordes les plus aiguës sont exactement accordées comme sur un ukulélé standard. Une bonne technique pour faire sonner votre guitare un peu comme un ukulélé.

#5. Plus de ukulélés, plus de plaisir

De nos jours, de nombreux auteurs-compositeurs-interprètes s’accompagnent eux-mêmes avec un ukulélé. Le ukulélé fait également souvent partie des instruments d’un groupe pop ou folk, par exemple. Mais avez-vous déjà entendu parler d’un orchestre composé de ukulélés ? Non ? Dans ce cas, nous vous invitons à écouter The Ukulele Orchestra of Great Britain qui rassemble 7 joueurs de ukulélé accompagnés par un joueur de ukulélé basse.

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